In mémoriam…

Agé de 91 ans, François Tourneux vient de nous quitter. Doyen du club de pétanque de Liffré, il laissera un souvenir joyeux et très agréable. Voici quelques témoignages retraçant sa personnalité. Ses obsèques seront célébrées samedi à 10 h en l’église de Liffré. Le club de pétanque de Liffré présente ses sincères condoléances à son épouse et toute sa famille.

Hervé Durand : “J’ai appris à connaître François pendant mes trois années de présidence. J’ai le souvenir d’un “joueur” toujours avec le sourire, jamais un mot plus haut que l’autre. Jamais d’embrouille avec François, toujours prêt à engager une partie. Il était reconnu pour son tir efficace, signe d’un joueur assidu après des années de pratique. J’aurais aimé le côtoyer plus longtemps…”

Georges Dufeil : “François était quelqu’un de très agréable. J’ai disputé avec lui le concours six communes de La Bouëxière. C’était un excellent tireur, pas maladroit du tout. De plus, c’était un bout en train. Au club de l’amitié, il amusait toute la galerie. Il aimait chanter, il en mettait un coup. Il avait un côté titi parisien mais très gentil. J’en garderai un excellent souvenir.”

Noël Collet : ” François jouait bien. Il était très agréable à jouer, comme partenaire ou adversaire. Il avait une façon de pointer particulière en faisant tourner ses boules. C’était quelqu’un de très joyeux. Il était toujours prêt à chanter dans les réunions, les banquets. Il avait une très belle voix. Il avait commencé comme mécano à Liffré avant de devenir chauffeur de taxi dans la capitale. Il aimait raconter de bonnes histoires sur la vie parisienne.”

Claude Beaumont : ” François était un ami très cher. Son départ nous fait beaucoup de peine. Nous avons fait beaucoup de fêtes avec lui. Il avait 91 ans mais quand on aime bien une personne, l’âge ne compte pas. On perd un personnage. Il avait son petit caractère mais il était vraiment très agréable. Au CCAS, au club de l’amitié, on aimait l’entendre chanter. Il m’avait dit qu’il avait 250 chansons à son répertoire mais sa préférée qu’il interprétait à chaque repas évoquait “80 chasseurs qui n’avaient pas peur”.